Beyrouth, à l’instar d’autres métropoles arabes et méditerranéennes, participe aux dynamiques de la mondialisation contemporaine grâce aux migrations internationales. Les dynamiques de la mondialisation « par le haut » et « par le bas » se croisent, se côtoient et s’ignorent dans la capitale. Les migrantes non arabes – éthiopiennes, philippines ou sri lankaises –, qui viennent travailler à Beyrouth comme domestique, introduisent dans les interstices urbains, de nouvelles altérités et de nouv...